29.2.08

Chemin de fer et bricolage ...

I ni fåt nén lexhî les gamins djouwer aveu çà !

23.2.08

Partage à l'amiable pour cause de divorce


L'est bon, dji va fé on gesse : vos poloz aveur vosse moncea d'ancene (monceau de fumier)

21.2.08

Machines à vôter à notre place ?

Du Soir en ligne de ce vendredi .....
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« A Liège ou Bruxelles, totalement informatisés, on a eu les résultats après minuit », rappelle Michel Staszewski, de l’association PourEva (Pour une éthique du vote automatisé), qui milite pour un retour au vote papier, seul garant à ses yeux de transparence et de contrôle démocratique. Tel est le problème majeur, selon les détracteurs : « L’exemple est célèbre de cet élu schaerbeekois qui a obtenu plus de voix de préférence qu’il n’y avait de votants. Il y en a eu d’autres, et encore ces cas ne sont-ils que la partie émergée de l’iceberg, puisque sans contrôle humain, les erreurs peuvent passer inaperçues ».

D’autres ont fait machine arrière. Les Pays-Bas, les plus avancés d’Europe, ont été contraints par la justice d’abandonner le vote électronique. Et l’Irlande y a renoncé malgré de lourds investissements. La Belgique fut la première, sera-t-elle la dernière ?

La note Dewael, qu’un vent favorable nous a fait parvenir, s’inspire d’une étude interuniversitaire commandée par le gouvernement. Elle propose de mettre en place un « système amélioré » consistant pour l’électeur à recevoir une confirmation écrite du vote émis dans l’ordinateur, pour lui permettre d’en vérifier l’exactitude. C’est un mieux, mais cela ne règle pas la question du contrôle du dépouillement, remarque-t-on au cabinet du ministre de l’Intérieur wallon Philippe Courard (PS). Ni celle du budget, ajoute-t-on chez Josly Piette, ministre fédéral CDH. Charles Picqué, ministre-président bruxellois (PS), n’acceptera un système que s’il « répond aux questions légitimes de la population sur le contrôle démocratique du scrutin ». Bref, le débat fait rage.

En attendant, le ministre Dewael préconise de prolonger la durée de vie des ordinateurs existants pour les scrutins de 2009. Des machines largement obsolètes.
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Ki compteront mutoit 800000 votaedje po ene ôte ?

20.2.08

Encore un truc à signer

pour la convocation d'Etats généraux

Les Wallons n'osent jamais rien réclamer - même pas de la vaseline quand on les en ...
(François Bovesse au cours d'un interview spiritiste dirigé par André Gauditiaubois.)

19.2.08

543 erreurs d’identité sexuelle sur la puce

LE SOIR, Rédaction en ligne
vendredi 15 février 2008, 18:28

Suite à une erreur informatique, le sexe de 543 femmes a été encodé comme masculin dans la puce de leur carte d’identité électronique.

Cette erreur ne concerne que les cartes d’identité électroniques francophones produites après le 6 février 2008.
Le problème proviendrait d’une erreur de programmation dans le logiciel du fournisseur, selon le SPF Intérieur.
Les communes ont été averties du problème et les citoyennes concernées en seront également avisées. Elles recevront gratuitement une nouvelle carte





Chère Madame Citron,

Votre mutuelle est à votre service, mais elle ne peut gaspiller l'argent des cotisations de ses membres à des remboursements injustifiés que d'ailleurs l'Etat et ses agents (du fisc controlant la comptabilité des ASBL, de l'inspection des pharmacies, du ministère de la santé publique, des contrôleurs de la Sécurité sociale) .... ne nous pardonneront pas.

En conséquence nous ne pouvons régler à votre place ni les dépenses d'accouchement et ni les frais d'hospitalisation conséquents que vous auriez (selon vous) encourus le mois dernier: d'après nos informations, en directe provenance des ordinateurs officiels de l'Etat, vous n'êtes pas pourvues des attributs nécessaires à la mise au monde.

Nous restons cependant à votre disposition pour financer tous les frais qui découleraient d'un mauvais état de votre prostate.

Veuillez agréer chère Madame Citron etc etc

18.2.08

Le sexe des puces

Enocin Citron a tot li minme estî cweri si cåde d'idintité



REMARQUEZ QUE LE SEXE DE LA PUCE Y EST INVISIBLE !

16.2.08

Scoop exclusif : La première astronaute Walonne ....

Sur les traces de Dirk Frimout, le grand astronaute Belge et de Buzz Aldrin, le conquérant de la lune, Madame Citron, (née Orange Pelée) pose le pied sur le sol de notre satellite

14.2.08

Google prévoit le pire, mais s'y prépare ....

La scission de la belgique entraine le besoin de fournir un accès au célèbre moteur de recherche

Gogueule est ddja presse po li pårticion del Beldjike !

13.2.08

Dijhoz li a les amerikins ....
(ou plutôt, voir commentaire ci dessous):
Dijhoz l' ås Amerikins

Salut, je viens tout juste de signer une importante lettre adressée aux candidats de l'élection présidentielle au nom de la communauté internationale. Les résultats de la prochaine élection américaine auront un impact sur toute la planète et j'ai pensé que vous pourriez aussi être intéressés à signer la lettre.

Voici le lien:

Hier, la liste des candidats au poste de président (ou présidente !) des États-Unis s’est précisée. Il s'agit de Barack Obama, Hillary Clinton et John McCain. Le gagnant décidera si le cauchemar de la politique étrangère de George W. Bush sera enfin terminé ou s’il continuera pour un autre 4 ans. Partout dans le monde, y compris aux États-Unis, les gens veulent voir le prochain président opérer un changement de cap.

L’opinion publique mondiale a un rôle à jouer même si ce ne sont, bien sûr, que les citoyens américains qui voteront. Car ceux-ci savent que le respect du monde entier à l’égard des États-Unis a drastiquement chuté sous la présidence de George W. Bush et ils veulent un président qui incarnera le changement. C'est pourquoi la grande communauté d'Avaaz s'est mise à l'oeuvre. Durant les prochains jours, la communauté internationale peut et doit influencer les stratégies de campagne des candidats finalistes. Cliquez sur le lien ci-dessous pour lire et appuyer notre lettre adressée aux candidats à la présidence. Si nous obtenons au moins 100 000 signatures d'appui, nous allons la publier dans les journaux américains et la remettront en personne à Hillary Clinton, Barack Obama et John McCain. Signez en cliquant sur ce lien et faites suivre ce message à tous vos amis:


Je pense que c'est un très bonne façon d'agir pour faire changer les choses... j'espère que vous vous joindrez à moi! Merci!

12.2.08

Retrait de ....



Mi ça mi côpe ... li gout do peket !

10.2.08

Les Wallons, coqs ou dindons ?

Article signé Edouard BRION
paru dans La Libre Belgique, mis en ligne le 08/02/2008

Au Sud, on reconnaît désormais la légitimité de la demande flamande de réforme de l'Etat. Mais les Wallons ont-ils fondamentalement changé leur façon de se situer dans cet Etat ?

Prêtre et citoyen

Après cette crise gouvernementale plus longue que d'habitude, chacun y va de ses réflexions. Par exemple, certains reconnaissent maintenant le bien-fondé de la lutte des Flamands de milieu modeste pour faire reconnaître leur langue dans l'Etat belge bourgeois francophone. Une réalité et une histoire que les Wallons ont mis du temps à remarquer.

Le fait d'avoir vécu en Flandre durant une dizaine d'années fait que je m'associe tout à fait à cette façon de voir, mais je pense qu'il faut aller plus loin et mettre en lumière d'autres aspects de cette histoire que mon séjour m'a fait toucher du doigt. Je pense surtout à l'émergence d'une nation flamande et de la construction d'un horizon mental en Flandre faisant du Wallon un "autre" aux yeux des Flamands.

Petit souvenir personnel pour l'illustrer : à Louvain, en 1970, lorsque les étudiants francophones manifestaient contre la loi Vranckx avec, comme slogan, "nous sommes tous des étrangers", mes confrères flamands me disaient : c'est tout à fait juste, ce sont des Wallons. Pour leur part, les francophones, et en particulier les Wallons, persistent à se situer avant tout comme Belges et donc à considérer les Flamands comme des "nous" en tant que Belges. C'est ce qui explique la floraison de drapeaux belges un peu partout en Wallonie et surtout à Bruxelles, du moins dans les beaux quartiers.

Un autre signe de cette différence : dans le baromètre politique publié chaque mois dans "La Libre Belgique", les personnalités politiques francophones sont absentes de la liste flamande, mais l'inverse n'est pas vrai pour la Wallonie et surtout Bruxelles. Un sondage du même type a montré qu'une grande majorité des Flamands trouve inacceptable un Premier ministre francophone, alors que Verhofstadt et d'autres Premiers ministres flamands ont recueilli une popularité certaine en Wallonie et à Bruxelles.

Ce déséquilibre avait déjà été souligné il y a longtemps par le chanoine Jacques Leclercq, professeur à l'UCL, dans sa brochure "Les catholiques et la question wallonne" publiée en 1963 : "Le drame de la Belgique actuelle est que les Flamands forment une communauté homogène qui poursuit ses objectifs centrés sur le bien de la Flandre, et qu'ils ne trouvent pas chez les Wallons un interlocuteur valable, qui serait une communauté wallonne, ayant même densité et même action systématique. La Belgique est comme un char qui n'aurait de roues que d'un côté. Ce char doit verser. S'il existe une communauté comprenant une partie du pays, le bien du reste du pays et le bien de l'ensemble du pays demandent qu'une autre communauté se constitue en face, et que les questions concernant l'ensemble du pays se débattent entre les deux Communautés." (Collection Ecrits politiques wallons, Institut Jules Destrée, 1988, p. 192).

On dira que la mise en place des Communautés et des Régions a réalisé la constitution de cette deuxième Communauté. Je n'en suis pas sûr, dans la mesure où ses membres continuent à se penser et à se voir avant tout comme Belges. On connaît ce vieux slogan oublié depuis longtemps en Flandre, mais toujours en vigueur au "sud du pays" : "Wallon, Flamand" est notre prénom, Belge est notre nom de famille."

Dans ce cas, Wallons et francophones seront toujours les dindons de la farce : ce qui est bon pour les Flamands, qu'ils considéreront comme Belges avant tout (comme ils se voient eux-mêmes), sera vu comme acceptable pour les Wallons. L'inverse n'est pas vrai : pour qu'une chose soit bonne pour eux, il faut que ce soit Flamand, sinon c'est vu comme "étranger" à leur nation, tout au plus acceptable comme concession pour faire passer un compromis qui leur soit globalement avantageux.

Un des résultats de la crise passée a été que Wallons et francophones ont reconnu la légitimité de la demande flamande et qu'il devenait impossible de continuer à refuser une nouvelle phase de la réforme de l'Etat. Mais dans quel cadre mental l'ont-ils fait ? Ont-ils fondamentalement changé leur façon de se situer dans cet Etat ? Je n'en suis pas sûr. L'essentiel ne reste-t-il pas à faire ?

8.2.08

Les grandes inventions d'Innocent Citron

Bricolez vosse minme :
Ene sucete
po målåjhis efonts di målåjhis



5.2.08

Texte communiqué
à TOUS les grands journaux par le Mouvement du manifeste Wallon.

Il n'a été publié qu'en province et pas par les journaux Bruxellois - qui se prétendent belges.
Ca les dérange, tout ce qui risque de rétablir un plus juste équilibre entre 3 millions de Wallons et 1 million de Bruxellois.

(Bruxelles défend la solidarité "francophone" qui ne va que dans un seul sens, celui des bouchons sur toutes les routes qui mènent à la capitale)


Namur, le 23 janvier 2008

LA WALLONIE EXISTE ET S'EXPRIME...
Le Mouvement du Manifeste Wallon (MMW) a réuni ce mercredi 23/01, sous la présidence de Jean Louvet, plusieurs personnalités du monde politique, syndical, culturel et associatif de Wallonie en vue de prendre position concernant Octopus et la commission Busquin-Spaak.

Les termes de leurs conclusions s'énoncent comme suit:

En prémisse, nous rejetons la négation de l'existence de la Wallonie à travers l'expression : " les francophones", constamment utilisée par les médias et les dirigeants politiques.

Pour pouvoir porter durablement et renforcer la reconquête par la Wallonie de sa prospérité, les participants exigent que celle-ci soit responsable de son enseignement, de sa politique culturelle et de ses médias. C'est-à-dire le transfert vers les Régions wallonne et bruxelloise des principales compétences exercées actuellement au niveau de la Communauté française de Belgique.

Nous marquons notre ferme attachement pour une solidarité nationale interpersonnelle, mais nous estimons aussi que l'institution régionale wallonne a atteint une capacité qui lui permettra d'absorber tout transfert de compétences de l'Etat Belgique avec ses moyens financiers correspondants. Nous sommes comme par le passé demandeurs de plus de compétences pour la Wallonie.

Les participants se sont en outre réjouis d'entendre de plus en plus d'élus et de représentants de la société civile bruxelloise déclarer qu'il est temps de laisser derrière nous un Etat belge où deux communautés se font face, pour permettre l'épanouissement de trois régions, chacune avec son identité propre, des institutions efficaces et la capacité de développer des coopérations efficientes entre elles. Nous sommes donc sur la même longueur d'ondes que le Manifeste bruxellois.

Nous avons décidé de convoquer début mars à Namur une grande réunion publique où, dans un esprit de dialogue et de respect, toutes les forces vives de Wallonie présentes approfondiront librement leurs réflexions en vue des échéances prochaines.






Michel GIGOT
Vice-président du MMW
0473/455522 e-mail:
marius.gigot@skynet.be
et
Jean LOUVET
Président du MMW
0494/310620