31.5.08

Cârte da li novele Beldjike


On notera que la mauvaise qualité de l'autoroute des Ardennes trouve son origine dans l'insuffisance de budget lors de sa construction (les soux sont allés au terminal gazier de Zeebrugge).
On remarquera aussi la disparition de l'autoroute par lequel ont été transportés vers Sidmar (Gand) les montants, subsides etc qui auraient du servir à la reconversion de la sidérurgie wallonne.

29.5.08

A zaventhem :
li truc po diskinde direk so li tchumin di fier



Clic sur l'image pour la voir en grand.




Remarquez l'accès direct à la SNCB, en évitant la longue marche sur le trajet depuis l'appareil jusqu'au contrôle des passeports - trajet à des niveaux différents où l'on emprunte deux escalators - quand ils ne sont pas en panne.
A propos : avez vous essayé récemment l'aéroport de Brussels South (Charleroi) et ses nouvelles installations ?

Un organe célèbre ...

Bé aloz zel li xhouter palåvå !

21.5.08

La Flandre malade de sa mauvaise image

Le vif l'express
16/05/2008 12:27
[Les liårds po fé tourner ci gazete la sont pourtant des liårds da des capitalisses flaminds !]

Le ministre régional flamand des Relations internationales, Geert Bourgeois, a du pain sur la planche. Depuis plusieurs mois, les médias et les observateurs étrangers tirent à boulets rouges sur la politique menée au nord du pays.

Ce mercredi 14 mai, trois représentants du Conseil de l'Europe, garant du respect des minorités, ont dénoncé la non-nomination de bourgmestres francophones dans la périphérie bruxelloise. «Inacceptable !», selon eux. Trois maïeurs sont concernés. Ceux de Wezembeek-Oppem, de Craainhem et de Linkebeek, communes à facilités linguistiques situées en territoire flamand, mais dont la population est très majoritairement francophone.

Le gouvernement flamand refuse de nommer les bourgmestres élus, parce qu'ils ont convoqué leurs électeurs en français. Il y a peu, le « Wooncode » flamand avait été sévèrement critiqué par l'ONU : réserver les logements sociaux à des Flamands est jugé discriminatoire par les Nations Unies.

Ce vendredi, le puissant quotidien De Standaard s'inquiète de ces atteintes à la réputation flamande. Il s'émeut d'un article publié, mercredi, dans l'International Herald Tribune, journal d'affaires du groupe The New York Times(1). Ce que peuvent lire les businessmen, candidats investisseurs dans une des régions les plus riches d'Europe ? Qu'on peut y craindre une sorte d' «épuration ethnique légalisée» !


(1)Vos troveroz on résumé (francès) ene miete pus long padzo.

20.5.08

El Time di Nouillorke
scrît so nozôtes !

Un article publié le 14 mai 2008 dans l'ensemble des quotidiens qui appartiennent au groupe de presse du New York Times (New York Times , Boston Globe , International Herald Tribune, soit quelque deux millions d'exemplaires papiers rien qu'aux USA. Plus les éditions internationales, et Internet.)

Un des groupes de presse les plus puissants au monde explique aux Américains

- que les Flamands pratiquent une forme non-violente de "fascisme" , "a kind of nonviolent fascism". La phrase qui tue et qui suscite déjà l'indignation en Flandre.

- qu'en Flandre fleurissent des graffitis "Belgie Barst" (Belgium Burst dans le texte). Elégant.

- que les Flamands rencontrés dans les rues de Liedekerke n'aiment pas les Noirs: là les lecteurs américains du NYT vont tomber de leur chaise.

- que les enfants francophones ont été interdits des aires de jeux dans une commune flamande, des piscines, etc.

- que les autorités communales ont du faire marche arrière mais qu'elles vont soumettre une nouvelle loi communale pour interdire la présence de francophones mais aussi des "étrangers".
Le clou du spectacle vient des déclarations du secrétaire communal de Liedekerke (savait-il à qui il parlait et a-t-il pris conscience de la gravité de ses propos???): "So Liedekerke intends to stick to its guns, but also to the letter of the law. It will soon vote on an amendment that says that its outings program "has a Dutch character," Mertens said.
"And instead of saying that the monitor can refuse kids who don't understand Flemish, we will write that the monitor can refuse children who 'disturb' the outings," he said
Of course, Mertens said, smiling, "one can understand 'disturb' in different ways."
To help keep out "relatives" and "friends" who live in Brussels, Liedekerke will charge them three times as much as residents.

- que la Flandre notamment pratique déjà la discrimination raciale, via des organismes publics tels que Bloso qui permet de renvoyer les enfants qui sont francophones et sans dédommagement. "The Flanders sports association, Bloso, [leur ADEPS]controlled by the Flanders government, runs sports activities and camps. But Bloso also says that children who do not speak or understand Flemish can be sent home without a refund"

- que selon les Wallons, "Flemish are doing some legal ethnic cleansing": nettoyage ethnique, le mot est laché. The Economist l'avait déjà fait.
La conclusion de Mr Mertens: "The fight over BHV "will be seen as the start of the war between the Flemish and the French-speakers," he said."

Un véritable bijou. Au même moment l'éditorialiste du Standaard écrit que la Flandre doit renforcer sa force de persuasion à l'étranger pour prouver que les flamands sont des légalistes tolérants et ouverts et les francophones des gros menteurs.

19.5.08

Pou les chinwès, conte el Tibet libe

Voyez le désopilant clip
Le meilleur est à la fin !
El pus drole est å dibout !

18.5.08

Bénvnowe dins nosse Ridiculocraceye

Bienvenue en ridiculocratie ...

On artike da GILLES DAL k'a paru li 17 di mai 2008 dins La Libre Belgique


Dji va d'è warder ene miete droci padzo, po li djoû ki l'Libe Beldjike va rtirer l'artike da si waibe.
J'en garde ici quelques extraits pour le jour où La Libre l'enlèvera de son site Web.


Mais le top, la médaille d'or, le hors-concours absolu, c'est incontestablement notre divin Premier ministre. Ah, Yves Leterme ! Rien qu'à prononcer ce nom, ma gorge se noue d'émotion, mon corps est parcouru de frissons, je suis transi, comme possédé : quelle personnalité électrisante, quel charisme incroyable, quel charme fou ! Leterme, c'est un peu notre Barack Obama à nous : un souffle d'air frais, un élan, un espoir... Quand on pense qu'avant lui, le pays se morfondait ! Or, qui ne sent pas, depuis quelques mois, cette confiance retrouvée en l'avenir, cet enthousiasme délirant chez les commentateurs, cette popularité époustouflante des deux côtés de la frontière ?

Vous allez me dire : c'est facile de se moquer; il a tout de même obtenu 800 000 voix. C'est vrai. Admettez cependant que si j'avais consacré mon billet à un pâle type qui n'aurait obtenu que 3 voix aux dernières élections, vous vous seriez demandé ce que je vous voulais.

Voici donc mon propos : être aussi peu excitant et se retrouver quand même Premier ministre, à une époque d'hyper-communication, ça relève de l'énigme totale; je dirais même de l'irrationnel. Mauvais négociateur, mauvais communicant, sympathique comme Michel Sardou : ouaouh ! Le casting semble remarquable. Yves Leterme Premier ministre, c'est un peu comme le Dalaï Lama directeur de casino, ou comme Jean-Claude Van Damme prix Nobel de littérature : on a du mal à se le figurer. Et je vous préviens : le premier qui m'accuse de sombrer dans le poujadisme, de stigmatiser les élus politiques, je lui rétorque que son reproche revient à m'accuser de stigmatiser les coiffeurs si j'ose me plaindre de ma coupe ratée.

et aussi

Un discours d'Yves Leterme, c'est un peu comme un discours d'enterrement, quand on ne connaissait pas le défunt. On se dit : "il faut que j'écoute", mais on a vraiment du mal. Il fait penser à ces types qu'on a eus pendant douze ans dans sa classe, et avec lesquels on n'a jamais échangé un seul mot. Ces types qui, dans une soirée, restent toujours sur le côté de la piste de danse en répétant que le DJ est nul. Ces types à qui on demande de prendre la photo de groupe, parce que tout le monde se fiche qu'ils ne soient pas dessus.

et enfin

Une interview écrite de Leterme, c'est triste comme un pique-nique en solitaire, comme un paquet de "Fermette vanille" fondu parce qu'on l'a oublié dans le coffre de sa voiture en été, comme un anniversaire-surprise qu'on espérait secrètement pour soi-même, mais qui n'a jamais eu lieu parce que personne n'a songé à en organiser un, comme une réunion d'anciens où on trouve que tout le monde est devenu vieux, moche et aigri, comme une invitation qu'on lance et à laquelle personne ne répond, comme quelqu'un qui doit expliquer sa blague, comme un artiste qui se produit devant une salle de spectacle vide, comme ces gens sous baxter, devant la porte d'entrée des hôpitaux, qui fument leurs clopes; comme, enfin, un pays qui n'était déjà pas au top, et dont la ridiculocratie est en passe de devenir une référence mondiale...

17.5.08

Encore une géniale invention
mais elle n'est pas de Citron

Clic sur la photo ci dessous pour voir les détails des outils de bOoLF et cARtoNA.




Et clic ci-dessus pour voir ce qu'en pense Mr Citron ....


13.5.08

Soyons fiers !

VIDEO d'une splendide intervention des "poulets" pour mettre fin à une bagarre.
Sans violence, avec la seule arme de leur prestige et la force tranquille de leur professionalisme, ils ont ramené la paix en quelques minutes.

Sins violence, is ont dimeuré "professionels djusk'a li fén"
Nule djin n'a volé dins li prijhon, is n'ont nén minme yeu a sôrti leu matrake !
Dji seus fîr da les "poulets" walons.

Et merci à nos politiciens pour leur "réforme des poulaillers"




[gråces Michel C.]


12.5.08

La RTBF rend les Wallons aussi populaires que les Chtimis

(O m'a scrît )

Cher Monsieur Citron

Je réprouve votre changement de comportement à l'égard de cette chaîne de Radio Television que toute la francité nous envie. Je m’explique :

Votre blog fût, à ma connaissance l’un des premiers – si pas le premier – à féliciter la RTBF pour la position qu’elle prit l'an dernier en informant la population belge de l’imminence d’une séparation entre la Flandre et la Wallonie.

Dans les minutes qui ont suivi la fameuse émission vous avez pris l’attitude inverse de celle que préférèrent les politiciens; ceux ci, vous vous le rappellerez, commencèrent presque tous par crier haro sur une chaine publique qui osait – selon eux – « affoler le citoyen en l’avertissant d’un pseudo danger qui n’existait pas ». (sic !)

Quant à vos collègues de la presse écrite, ce n’est que bien plus tard qu’ils quittèrent leur position attentiste – coincés qu’ils étaient entre la position visionnaire de la RTBF et celle d'un monde politique qui peut à tout moment, par une simple loi, faire bien du tort à la presse écrite.

On ne pouvait donc - jusqu'ici- , cher Monsieur Citron, vous suspecter de la mauvaise fois qui caractérise les autres médias lesquels passent sous silence les hauts faits, les grandes qualités, et les courageuses politiques éditoriales qui ont fait la solide réputation de notre chère RTBF.

Pourtant vous n’avez absolument pas réagi au long des mois, sinon des années où cette grande dame de la communication a entamé une subtile campagne à la gloire des (futurs) citoyens de l’Etat Wallo-Bruxellois. Vous feignez d'ignorer tout ce que fait la RTBF pour nous faire apprécier par toute la francophonie comme le sont aujourdhui les Chtimis.

Cette intelligente campagne de la RTBF avait pourtant commencé bien avant qu’un obscur cinéaste doté d’un budget à la petite semaine ait torché en vitesse ce film qui fit, dès sa sortie, battre les cœurs dans toute la francité.
Oui mais voilà : ce cinéaste est un plagiaire qui a visiblement
recopié la stratégie de la RTBF selon laquelle on peut susciter grand intérêt et affection amusée pour toute peuplade si on la représente par des gens qui ne parlent qu'approximativement un langage dont ils piétinent la syntaxe, et qu'ils prononcent avec un accent très particulier.

Il y a fort longtemps que l’accent de Ménapie et les fautes de Français des originaires de cette région nordique de Belgique sont quotidiennement diffusés sur nos belles ondes francophones : Chaque jour en effet, la RTBF donne la parole à l'un ou l'autre « expert » de n'importe quel sujet (finances, bourse, pétrole, écologie, réchauffement climatique …), expert dont le sabir démontre à l'envi qu'il est sinon un électeur de Monsieur Leterme du moins un originaire du plat pays [NDLR: exact, à quelques exceptions près, comme lorsqu’il existe un expert suranné mais bien connu, dans un domaine de pointe p ex constitutionaliste ou apiculteur et qui est incontournable parce qu'il est aussi un politicien].

Vous avez certainement compris, cher Monsieur Citron, que cette campagne de la RTBF n’est pas de faire croire que les francophones de Belgique ne maîtrisent ni l’orthographe si bien codifié de la langue dont ils se réclament, ni les doux accents de sa phonétique.
Il ne s’agit pas non plus de démontrer que les wallons ne sont des experts qu’en quelques matières mineures comme la carrière de chômeur, l’abus de biens officiels, la soumission complète aux fanatiques du ‘droit du sol [NDLR: droit du sol qui n'est appliqué
que quand cela arrange les descendants des envahisseurs vikings qui colonisèrent le nord de notre pays il y a dix siècles].

Non la géniale utilisation d’« experts » aussi incapables d’utiliser le subjonctif que de prononcer le g guttural des carolos ou le h expiré des liégeois c’est évidemment de faire connaître et apprécier notre peuple autant que ne le sont les tribus des environs de Lille depuis la diffusion du fameux 'Bienvenue chez les Chtis. [NDLR: Une fois redevenus Français, et bien que Lille aît été fort longtemps la capitale de la Flandre, nous ne la rendrons jamais à ceux qui ont maintenant installé leur capitale dans la nôtre.]

Je vous prierai donc de présenter clairement à votre lecteur moyen
[NDLR:
tous nos lecteurs sont moyens - s'il faut en croire les enquêtes de QI réalisées par notre cher premier ministre. ] l’astucieuse campagne que notre chaîne d’information Wallo-Bruxelloise mène depuis longtemps pour le plus grand bien de notre réputation.

De grâce, cher Monsieur Citron, soutenez avec moi l'utilisation systématique par la RTBF, d'un maximum d'experts originaires du nord du pays - même si le versement d'éventuels émolûments ne pourra sans doute être comptabilisé avec les transferts Sud-Nord que nous avons consentis de 1830 à 1960.

Veuillez agréer cher monsieur Citron , etc etc

(s) Clémentine Mutine.


DONT ACTE

Il fåreut eto scrire a les djins di l' Cominålté Francesse, di l' Culteure eyet di l' Educåcion publike po leu dire di ni nén si mete a critiker li RTBF cwand elle djåze do si mwais francès ; on aprind pa l'egzimpe, eyet li RTBF est la eto po mostrer a nos efants kimint si fé passer po des enocins - vu ki'ls åront dandjî di ça po trover ene boune plaece di tchômeu perpetuwel.

(s) Innocent Citron



11.5.08

Po vir li veye d'ene ôte manire

endalez vîr droci


.... pour la recette du "comment voir la vie d'une autre manière" : TIREZ LE VERRE SUR LES AUTRES PARTIES DU DESSIN !

10.5.08

AIDEZ LES SANS PAPIER : Ravalaedje des pintures do Vatican

... mise à jour de pans entiers de la chapelle sixtine qui étaient jusqu'ici inconnus ....
(les journaux)



9.5.08

BHV: Nous avons gagné 2 mois
avant de céder (encore) aux exigences Flamandes.

Quand ils sont venus chasser de Louvain (la vieille) une université vieille de 500 ans,personne n'a rien dit : on n'y était pas soi-même étudiant, ou bien on y avait terminé ses études depuis plusieurs années, ou cela allait affaiblir les cathos, ou encore on était employé par l'UCL et ça allait doubler le nombre de situations , donc nous faire de l'avancement à Louvain la Neuve: ça arrangeait sans doute tout le monde sauf quelques évêques - et encore, pas tous.

Quand ils ont rendu impossible l'usage du Français à Bruges, Gand, Anvers ... on n'a rien dit : la majorité d'entre nous n'avait rien de commun avec ces riches aristocrates bilingues qui dirigeaient la Belgique du haut de leur fortune, en parlant le Flamand avec leurs domestiques de là, ou Wallon avec leurs domestiques d'ici.
Et quand nos dirigeants ont accepté de faire du Flamand une autre langue nationale, mais ont continué a ridiculiser les partisans du Wallon qui demandaient le même sort pour leur langue, personne n'a rien dit : qui s'intéresse à une langue qui n'est parlée que par quelques millions de personne ?

Quand ils ont commencé à afficher des plaques "VL" sur leurs voitures en lieu et place du "B" on a fait mine de ne rien voir - pour n'avoir pas à intervenir.


Quand ils ont pris le contrôle des Fourons on n' a rien dit; ces quelques fermiers francophones n'étaient ni du cercle de notre famille ni de celui de nos amis.

Quand ils refusent de reconnaître dans leur région les bourgmestres élus par 90 % des citoyens, personne ne fait rien , sous prétexte que la loi (Belge !) stipule qu'il n' y a rien de possible, et personne n'a proposé de changer la loi.

Quand ils ont commencé à faire le tour du Gordel un dimanche par an pour marquer que Bruxelles leur appartiendra un jour, on n'en a pas parlé, on n'est pas allé à leur rencontre : c'était trop risqué pour notre bedaine.

Quand notre television a osé aborder le sujet, et que nos dirigeants ont inquiété son directeur général pour nous "avoir inquiétés à tort", nous n'avons rien dit. Mais nous avons mis nos enfants dans des écoles dirigées par des collaborateurs qui y organisent "l'immersion linguistique".

Quand il fallait choisir entre des autoroutes de qualité pour la Wallonie et un grand port avec terminal gazier à Zee-Bruges, on les a laissé choisir ce qu'ils préféraient, et personne n'a rien dit.
Maintenant que le prix de l'énergie en Wallonie est le plus élevé d'Europe, personne ne semble regretter de n'avoir pas préféré un approvisonnement par Dunkerke.

Quand une majorité de politiciens francophones ont aidé une minorité de politiciens flamands à mettre sur pied un gouvernement dirigé par le membre le plus éminent d'un parti séparatiste, nous n'avons rien dit. Pire: nous avons arboré le drapeau dont ils ne veulent plus - que tant que cela leur amène les derniers avantages qu'ils pensent pouvoir nous extorquer sans que nous réagissions.

Et quand ils essayeront de passer plus loin, au delà de la frontière linguistique actuelle, alors moi je ne serai plus parmi les rares qui crient au fou, et j'aurai obtenu la nationalité Française.
Celle de la nation qui a inventé les droits de l'homme.
D'ailleurs, il n'y aura sans doute plus guère de Wallons pour le remarquer: ils seront tous devenus de bons aryens. Convertis de force. Comme les Juifs au cours de l'inquisition.

C'était écrit dans les astres depuis 10 siècles : quand les vikings sont venus imposer leur langue de la Frise à Lille, nos accueillants ancêtres n'ont rien dit. Ils n'ont même pas parlé du "droit du sol " [du sol Celte à parler Celte et Latin].

8.5.08

Le Soir so si Waibe 15h48 ådjordu Djeudi

Sondage : Leterme ne devrait pas démissionner pour 44,2 % des Belges

En cas de vote en séance plénière de la Chambre sur la scission de la circonscription de Bruxelles-Hal-Vilvorde, le Premier ministre Yves Leterme ne devrait pas démissionner pour 44,2 % des Belges, dont une majorité de Flamands (57,8 %), selon un sondage RTL/Belga/Ivox réalisé partout en Belgique, rapporte jeudi Bel RTL. Seuls 25,8 % de francophones le soutiendraient.

40,2 % des personnes interrogées estiment toutefois que le Premier ministre devrait présenter sa démission.

Parmi celles-ci figurent une majorité de francophones (56,7 %) contre une minorité de Flamands (28,1 %): ce sont donc ces derniers qui soutiennent le plus Yves Leterme.

Cher collègue du Soir :
Vos rovioz ki li governemint "Leterme Dernier" n'est la k'a côze en prumî d'ene majorité di politikîs Walons (eyet d'ene minorité di politikîs flaminds !)

6.5.08

Tele-Wallonne (Libre!) : émissions choisies

Un instrument de musique celte - joué, semble t'il, dans nos contrées au temps où les brutaux vikings envahirent - au mépris du droit du sol - le Nord de notre belle patrie et y commencèrent à imposer leur langage barbare.



Ôtes emissions da l'TV Walone Libe