30.10.08

Elections aux USA

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Elecsions d'Amerike ...

endaloz vîr droci
Dji n'a nén li coraedje k'i fåt po li rimete e Walon ...
Damadje po les djins ki ni comprindént nén l'inglès.

24.10.08

Co on schoupe da Enocin
Il faut cesser de manger du pain:
.... dix preuves statistiques

1. Dins les djins k'o stî dins l'prijhon, l' a pusse ki 98% di mindjeus di pwin .

2. El mitan des efants k'ont on coeficyint intelectuwel djusk' li moyene eyet pa dzo (F: dans la moyenne et en dessous) sont des mindjeus di pwin.

3. Il a 97.7 % des crimes ki sont l'ovraedje di djins k'ont mindjî do pwin dins les dierinnes 24 eures.

4. On fwait li pwin aveu des djès (F:levure). On a mostré ki ene live (F: une livre) di djès esteut assez po fé stofer (F: étouffer) ene soris. El Belje moyén mindje pusse di djès ki ça so on moes.

5. Les djins ki viként dins les bos d'Amazoneye eyet do Congo ni mindjént pont di pwin, eyet îs n'atrapént nén el Parkinson, l'Alzheimer eyet les ôtes maladeyes ki fiynut mori nosses viyès djins ...

6. El pwin c'est ene drôke k'o ni pout pus fé sins (F: faire sans, s'en passer) : Cwand o ni dône ki di l'aiwe (F: que de l'eau) a on mindjeu di pwin, après twè djoûs il est a 4 pates divant vos po aveur ene tartene.

7. Vos vinde do pwin c'est ene intrêye po vo vinde (tcher et vilain) des drokes co pu foite, come el bûre, el djeleye, el djambon evnd.

8. On a veyou des pitits efants di sacwants moes k'on stofé paski leu mame leu zels a doné ene crousse di pwin.

9. Di nos djoûs 67 % des djins ni morént nén dins leu måjhone. Mins å timpe da Leopold II, cwand el pwin esteut fwait pa les femes a leu måjhone, el mitan des pitits efants morént avant 3 ans, bråmint des femes morént en le fijhant vni å monde eyet il aveut bråmint di maladeye come el typhus, eyet li gripe ki fijheut mori les djins a leu måjhone.

10. Il a 73% des mindjeus di pwin ni pout nén fé li diferince intré des biesses statistikes eyet des vraiys verités k'el syince a bén prouvé.

20.10.08


SGB-->FORTIS,
BBL-->ING,
CCB-->DEXIA,
SNCI-->FINTRO
ça continouwe ...

Quand on change de nom
ce n'est pas toujours parce qu'on a mauvaise réputation

C'est plus souvent pour montrer sa vraie personnalité ....


Voici un avant goût de prochains changements ....




18.10.08

Comuniké da Enocin (ça n'est nén on schoupe) ....

Po fé taire les mwaijhes djins ki racontént n' impôrtè cwè so m'compte,
dji seus oblidjî di confirmer ki dji ni seus nén li popa da l'efant k'est ratindou pa Madame Rashida Dati.

16.10.08

Encore un coup brillant de notre police locale ....


La police des zones frontalières vient de marquer un grand coup dans la lutte contre les malfrats brésiliens, danois .... qui s'enrichissent scandaleusement grâce à la dépendance aux boissons alcolisées des populations wallonnes: des centaines de litres de boissons alcoolisées d'origine douteuse ont été saisis (voir photo ci dessus).

14.10.08

Quoi qu’en disent les Flamands, Bruxelles n’est pas la capitale de la Flandre !

Quoi qu’en disent les Flamands, Bruxelles NE PEUT ETRE la capitale de la Flandre !

Depuis le début des années 80, les gouvernements flamands successifs ont toujours affirmé que Bruxelles est la capitale de la Flandre.

Bon nombre de Francophones, bruxellois et wallons, sont convaincus de cette allégation mensongère, basée sur de faux postulats et résultant d’amalgames trompeurs…

1.1. Le Conseil d’Etat l’a dit : Bruxelles n’est pas la capitale de la Flandre. L’installation de Bruxelles comme capitale de la Flandre est contraire à la Constitution.

En 1983, le Conseil d’Etat a été saisi d’une demande d’avis émanant du président du Parlement flamand de l’époque concernant un projet de décret « relatif au choix de Bruxelles comme capitale de la Communauté flamande ».

Qu’a dit le Conseil d’Etat ?

- Les Communautés ne sont pas compétentes pour choisir une capitale.
- Le projet de décret distingue le choix de la capitale, que la Communauté flamande estime de nature symbolique et politique, du choix du siège des institutions.
Or, le Conseil d’Etat relève que la Communauté flamande souhaite une capitale où le siège des institutions (pouvoirs législatif et exécutif) est également établi.

Le Conseil d’Etat rejette donc pour motif d’incompétence de la Communauté flamande le choix de celle-ci d’installer Bruxelles comme capitale.

Le FDF n’a de cesse de rappeler cette évidence : la Flandre a passé outre un avis du Conseil d’Etat et s’est installée à Bruxelles de manière anticonstitutionnelle.

De cet avis, en effet, la Flandre n’en a eu cure puisqu’elle a adopté son décret, le 6 mars 1984, et a depuis développé une politique d’occupation progressive et stratégique de la ville-région en y installant institutions et administrations, voire des entreprises fleurons.

Elle a en outre choisi des endroits symboliques et chargés d’histoire du centre-ville (place des Martyrs pour le siège du Gouvernement flamand, rue de Louvain derrière la rue de la Loi pour le siège du parlement), et opté pour des zones de développement économique situées à proximité des gares et des voies d’accès à la capitale (principalement le quartier Nord, ainsi le ministère de la Communauté flamande, sur le boulevard Albert II, à proximité du WTC, près de la gare du Nord, la plus grande banque flamande la KBC, avenue du Port, à proximité du boulevard Léopold II).

1.2. Sur le plan de la réalité démographique, Bruxelles n’est pas une ville flamande

La Flandre a beau jeu de présenter toujours Bruxelles comme une ville historiquement flamande.

Ce qui était peut-être vrai lors de la création de l’Etat belge (en 1830, Bruxelles comptait alors environ 100.000 habitants) n’a plus aucune signification à l’aube du XXIème siècle : aujourd’hui, les statistiques (électorales, fiscales, administratives par les actes de l’état civil ou les demandes d’immatriculation des véhicules) issues de questions de nos parlementaires, qui présentent une réalité objective de la réalité socio-linguistique de la ville-Région, à défaut d’un recensement linguistique refusé d’ailleurs par les … Flamands depuis 1960, l’attestent à l’envi : la population flamande représente à peine 10% de la population d’une ville-région qui compte aujourd’hui plus d’un million d’habitants.

A cet égard, les politiques flamandes, menées notamment au niveau du logement visant à attirer des néerlandophones en région bruxelloise, ont échoué, ceux-ci témoignant toujours d’une relation amour-haine envers Bruxelles.

Or, la Flandre ne reconnaît nullement cette évidence : bien au contraire, elle prend appui sur le fait que Bruxelles est une ville multiculturelle pour réduire la population francophone très largement majoritaire à une minorité linguistique parmi d’autres…

Morceaux choisis de la déclaration du Gouvernement flamand de juillet 2004 : « La région Bruxelles-Capitale connaît une grande diversité culturelle » « Nous manipulons (sic) la norme de 30% à l’égard de Bruxelles, ce qui veut dire que nous estimons que notre public cible correspond à 300.000 Bruxellois (…) Tous les ans, nous évaluons l’autorisation d’engagement du Vlaams-Brusselsfonds en fonction de cette norme. Ainsi, nous renforçons la présence flamande à Bruxelles par la qualité et la quantité des institutions flamandes(…) ».

Voici quelques statistiques indubitables sur la réalité francophone de Bruxelles, qui démontre que la région ne compte nullement 30% de néerlandophones ! :
1) Elections législatives du 10 juin 2007 Cantons bruxellois de l’arrondissement électoral de Bruxelles-Hal-Vilvorde Listes francophones : 88,5% - listes néerlandophones : 11,5%
2) Elections communales du 8 octobre 2006 dans les 19 communes Nombre de conseillers communaux Listes francophones : 88,2% - listes néerlandophones : 11,8%
3) Actes de l’état civil (naissances, décès, mariages…) (2002) Etablis en français : 90,8% - établis en néerlandais : 9,2% _4) Déclarations fiscales à l’IPP/ 19 communes (2002) Etablies en français : 90,4% - établies en néerlandais :9,6%
5) Demandes d’immatriculation des véhicules/19 communes (2002) Etablies en français : 90,8% - établies en néerlandais : 9,2%
6) STIB/ demandes d’abonnements gratuits pour les -12 ans (2005) En français : 93,3% - en néerlandais : 6,7%
7) Permis d’urbanisme /19 communes (2004) En français : 92% - en néerlandais : 8%

9.10.08

de bello gallico (revisité)

Gallia est omnis diuisa in partes tres, quarum unam incolunt Belgae, aliam Aquitani, tertiam, qui ipsorum lingua Celtae, nostra Galli appellantur. hi omnes lingua, institutis, legibus inter se differunt. Gallos ab Aquitanis Garumna flumen, a Belgis Matrona et Sequana diuidit. horum omnium fortissimi paribassimi sunt Belgae, propterea quod a cultu atque humanitate prouinciae longissime absunt, minimeque ad eos mercatores saepe commeant, atque ea quae ad effeminandos animos pertinent important. proximique sunt Germanis, qui trans Rhenum incolunt, quibuscum continenter bellum gerunt, qua de causa Heluetii quoque reliquos Gallos uirtute praecedunt, quod fere quotidianis proeliis cum Germanis contendunt, cum aut suis finibus eos prohibent aut ipsi in eorum finibus bellum gerunt. eorum una pars, quam Gallos obtinere dictum est, initium capit a flumine Rhodano. continetur Garumna flumine Oceano finibus Belgarum. attingit etiam ab Sequanis et Heluetiis flumen Rhenum. uergit ad septentriones. Belgae ab extremis Galliae finibus oriumtur. pertinent ad inferiorem partem fluminis Rheni. Spectant in septentriones et orientem solem. Aquitania a Garumna flumine ad Pyrenaeos montes, et eam partem Oceani quae est ad Hispaniam, pertinet. spectat inter occasum solis et septentriones.