10.12.12

Je ne vise personne mais je tire mal .....

INAPTOCRATIE : un système de gouvernement où les moins capables de gouverner sont élus par les moins capables de produire et où les autres membres de la société les moins aptes à subvenir à eux-mêmes ou à réussir, sont récompensés par des biens et des services qui ont été payés par la confiscation de la richesse et du travail d'un nombre de producteurs en diminution continuelle.

2.8.12

28.7.12

21.7.12

Déclaration du Directeur Général Adjoint du Figaro

Thierry Desjardins
Journaliste et Reporter, né en 1941,
Directeur général adjoint du Figaro.
Auteur d'un nombre considérable d'ouvrages politiques.
Lauréat de l'Académie française.
Prix Albert Londres 1975.   Prix Louis Pauwels 2000. 
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 Il serait grand temps que nous nous apercevions (enfin) qu'une nouvelle guerre de religion a éclaté et, cette fois, à l' échelle planétaire.
Les Islamistes massacrent les chrétiens en Égypte, en Irak, aux Philippines, en Indonésie, au Pakistan, au Nigeria, un peu partout.
Malraux avait dit : « Le XXIème siècle sera religieux ou il ne sera pas ».
On a bien l'impression que ce siècle qui commence va voir le déchaînement sans pitié d'un Islam renaissant, voulant dominer le monde et faire payer à la civilisation chrétienne les quelques siècles pendant lesquels elle a régné sur la planète. Cette haine du chrétien dépasse de beaucoup tous les problèmes de la foi. En s'attaquant aux églises, aux prêtres, aux religieuses, aux fidèles, les islamistes veulent abattre la civilisation occidentale, la démocratie, le capitalisme, ce qu'ils appellent le « néo-colonialisme », la parité hommes-femmes, les Droits de l'Homme, le progrès tel que nous le concevons.
Le XXème siècle a été marqué par l'affrontement Est-Ouest, le bloc communiste contre les pays « libres ». Marx, Lénine et Staline se sont effondrés d'eux-mêmes sous les incohérences, bien souvent monstrueuses, de leur idéologie. Mais ils ont aussitôt été remplacés par Allah et son Prophète.
Le Coran a pris la place du Communisme, le drapeau vert de l'Islam celle du drapeau rouge, les imams prédicateurs des mosquées celle des commissaires politiques.
Le XXIème siècle sera une guerre sans merci car les foules immenses du Tiers-monde islamisé (et des banlieues de nos grandes métropoles) sont autrement plus dangereuses que ne l'ont jamais été les chars du Pacte de Varsovie.
Nous pleurons, avec nos larmes de crocodiles habituelles, les coptes massacrés à Alexandrie et les chrétiens assassinés à Bagdad.
Mais nous restons les bras ballants.
Il faut bien dire qu'on voit mal ce que nous pourrions faire. Ce n'est plus guère le temps des croisades et nos dernières expériences en Afghanistan ou en Irak (où nous commençons à regretter la belle époque de Saddam Hussein qui savait, lui, au moins, faire respecter la laïcité baasiste) n'ont pas été très concluantes, c'est le moins qu'on puisse dire.
Il est bien loin le temps où Napoléon III pouvait envoyer un corps expéditionnaire protéger les maronites du Liban que massacraient les Druzes. Mais au moins restons lucides et surtout arrêtons de ressortir une fois de plus la
fameuse « repentance » qui nous sert désormais pour maquiller toutes nos lâchetés.
Hier, un imbécile de service nous a longuement expliqué à la télévision que si les islamistes égyptiens massacraient les coptes c' était parce que ces chrétiens de la vallée du Nil étaient « les représentants de l'Occident »,
les ambassadeurs de la culture européenne », les symboles vivants du capitalisme, du néocolonialisme, du dollar et du coca-cola. En un mot, les ultimes survivants de l'époque coloniale. Autant dire, à l' en croire, que les Islamistes avaient parfaitement raison de vouloir éliminer ces survivances d'un passé détesté.
*L'imbécile était, en plus, un inculte*. Les coptes sont les descendants du peuple des pharaons. « Copte » veut dire « égyptien ».
Ils étaient sur les bords du Nil bien avant la conquête arabe et musulmane.
S'ils sont plus nombreux au sud, entre Assiout et Assouan, c'est précisément parce qu' ils ont fui les cavaliers conquérants venus d'Arabie. Ils avaient leurs églises bien avant que nous ne construisions nos cathédrales.
On peut d'ailleurs dire exactement la même chose de tous les chrétiens d'Orient qu'ils soient catholiques (de rite d'Antioche, de rite syriaque comme les maronites libanais, de rite byzantin, de rite arménien, de rite d'Alexandrie) ou « non chalcédoniens » comme les coptes, ou orthodoxes(ayant leur patriarcat soit à Istanbul, soit à Alexandrie, soit à Jérusalem, soit à Damas).
Tous sont « chez eux » dans ces pays-là depuis des millénaires, certains parlant encore l'araméen, la langue du Christ. En faire des ambassadeurs de l'Occident, des représentants du capitalisme colonial est évidemment une absurdité.
Même si, en effet, ils sont « de culture chrétienne ». Mais ils l'étaient avant nous.
Nous ne pouvons rien faire pour les protéger, mais au moins ne les trahissons pas en reprenant à notre compte les accusations odieuses de leurs assassins.
Nous pouvons les accueillir, comme nous nous devons d'accueillir tous ceux qui sont persécutés. Beaucoup ont déjà fui leur pays.
Mais, en tous les cas, ne continuons pas à nous boucher les yeux, à parler de « l'amitié islamo-chrétienne », d'un « Islam à l'occidentale », de « la cohabitation harmonieuse des trois monothéismes ».
Soyons intransigeants avec les règles de notre laïcité , mais ne nous laissons entraîner ni vers la stigmatisation ni vers la discrimination (surtout si elle devait être « positive », comme le souhaitent certains), car ce serait,évidemment, faire le jeu des fanatiques
Aujourd'hui, la grande mode est d'évoquer, d'invoquer, à tout bout de champ "les années les plus sombres de notre histoire". C'est souvent absurde et parfois odieux.
Mais s'il y a une leçon qu'il ne faut jamais oublier c'est bien celle de Munich.
Churchill avait dit : « Ils ont préféré le déshonneur à la guerre et ils auront les deux ».
Il ne faut jamais tenter de pactiser avec ceux qui vous ont déclaré la guerre.

19.7.12

TOUT FOUT L'CAMP :



A l'plaece di praitchî, JESU-Kri boute å DelHaize(à fé des mirakes)


8.7.12

Ces deux houmes la c'est deux Flamins ....

Cimint esse ki dji l'a vwoeyu ?
Bén si c'åreut stî des Walons, a li plaece d'zel pourter so leu dos , is fwairinnent rouler li barike ...!

24.6.12

El Syrie oyï oyï .....

Il a des milles ki sont tuwés dins li Syrie ... Les gazètis, li televuzion evnd n'arêtent nén di nos d'zel dire.
Mins pocwè esse ki ni djåzeneunt jamwais des MIYIONS ki sont moirt å Congo ?
http://www.youtube.com/watch?v=plIKGaqPxsM&feature=related
...
...

31.5.12

Jesus a rivegnou amon nozôtes ...

En voyant la foule de gens, Jésus alla sur la montagne. Lorsqu'il fut assis, les Douze vinrent à Lui. Il leva les yeux sur ses disciples et dit : Bienheureux les pauvres en esprit, car le Royaume des cieux est à eux.


Bienheureux ceux qui souffrent, car ils seront consolés. Bienheureux les doux, car ils possèderont la terre ....

Quand Jésus eut terminé, Simon-Pierre dit : « Il fallait écrire ? »

Puis André demanda : « Est-ce qu'on doit apprendre tout ça ? »

Et Jacques : « Il faut le savoir par cœur ? »

Philippe ajouta : « C'est trop dur ... »

Jean dit : « J'ai pas de feuille ! »

Et Thomas ajouta : « Moi, j'ai plus d'encre dans mon stylo ! »

Inquiet, Barthélemy demanda : « Y aura interro ? »

Et Thaddée interrogea : « Comment ça s'écrit '' bienheureux'' ? »

Matthieu se leva et quitta la montagne sans attendre, en disant : « Je peux aller aux toilettes ? »

Simon précisa : « Ça va sonner. » et Judas dit enfin : « Vous avez dit quoi après ''pauvres'' ? »

Alors un grand prêtre du Ministère de l'instruction publique (et religieuse) s'approcha de Jésus et dit :

· Quelle était ta problématique de départ ?

· Quels étaient tes objectifs transversaux ?

· À quelle compétence faisais-tu appel ?

· Pourquoi ne pas avoir mis les apôtres en activité de groupe ?

· Pourquoi cette pédagogie frontale ?

· Était-elle la plus appropriée ?

Alors, Jésus s'assit et il pleura.

D'autant que la semaine précédente l'inspecteur de l'AFSCA lui avait interdit d'encore multiplier pains et poissons sans certificat de provenance voire de transformer en vin de l'eau non analysée ...

24.5.12

Le voile et la burqa .... ?

Pocwè fé tant d'afwaires po ni nén moustrer vosse tiesse adon ki vos n'estoz nén gèneye di moustrer vosse cul ?



30.4.12

L'’AVIS DU DIRECTEUR GENERAL ADJOINT DU FIGARO ..............

La guerre de religion a-t-elle commencé ?

Il serait grand temps que nous nous apercevions enfin qu'une nouvelle guerre de religion a éclaté et, cette fois, à l' échelle planétaire.
Les Islamistes massacrent les chrétiens en Egypte, en Irak, aux Philippines, en Indonésie, au Pakistan, au Nigéria, un peu partout. Malraux avait dit : « Le XXIème siècle sera religieux ou il ne sera pas ».
On a bien l'impression que ce siècle qui commence va voir le déchaînement sans pitié d'un Islam renaissant, voulant dominer le monde et faire payer à la civilisation chrétienne les quelques siècles pendant lesquels elle a régné sur la planète.
Cette haine du chrétien dépasse de beaucoup tous les problèmes de la foi. En s'attaquant aux églises, aux prêtres, aux religieuses, aux fidèles, les islamistes veulent abattre la civilisation occidentale, la démocratie, le capitalisme, ce qu'ils appellent le « néo-colonialisme », la parité hommes-femmes, les Droits de l'Homme, le progrès tel que nous le concevons.
Le XXème siècle a été marqué par l'affrontement est-ouest, le bloc communiste contre les pays « libres ». Marx, Lénine et Staline se sont effondrés d'eux-mêmes sous les incohérences, bien souvent monstrueuses, de leur idéologie. Mais ils ont aussitôt été remplacés par Allah et son Prophète. Le Coran a pris la place du Communisme, le drapeau vert de l'Islam celle du drapeau rouge, les imams
prédicateurs des mosquées celle des commissaires politiques.
Le XXIème siècle sera une guerre sans merci car les foules immenses du Tiers-monde islamisé (et des banlieues de nos grandes métropoles) sont autrement plus dangereuses que ne l'ont jamais été les chars du Pacte de Varsovie.
Nous pleurons, avec nos larmes de crocodiles habituelles, les coptes massacrés à Alexandrie et les chrétiens assassinés à Bagdad . Mais nous restons les bras ballants.

Il faut bien dire qu'on voit mal ce que nous pourrions faire. Ce n'est plus guère le temps des croisades et nos dernières expériences en Afghanistan ou en Irak (où nous commençons à regretter la belle époque de Saddam Hussein qui savait, lui, au moins, faire respecter la laïcité baasiste) n'ont pas été très concluantes, c'est le moins qu'on puisse dire.

Il est bien loin le temps où Napoléon III pouvait envoyer un corps expéditionnaire protéger les maronites du Liban que massacraient les Druzes. Mais au moins restons lucides et surtout arrêtons de ressortir une fois de plus la fameuse « repentance » qui nous sert désormais pour maquiller toutes nos lâchetés.

Hier, un imbécile de service nous a longuement expliqué à la télévision que si les islamistes égyptiens massacraient les coptes c'était parce que ces chrétiens de la vallée du Nil étaient « les représentants de l'Occident , les ambassadeurs de la culture européenne », les symboles vivants du capitalisme, du néocolonialisme, du dollar et du coca-cola. En un mot, les ultimes survivants de l'époque coloniale.
Autant dire, à l'en croire, que les Islamistes avaient parfaitement raison de vouloir éliminer ces survivances d'un passé détesté.
L'imbécile était, en plus, un inculte. Les coptes sont les descendants du peuple des pharaons. « Copte » veut dire « égyptien ». Ils étaient sur les bords du Nil bien avant la conquête arabe et musulmane. S'ils sont plus nombreux au sud, entre Assiout et Assouan, c'est précisément parce qu'ils ont fui les cavaliers conquérants venus d'Arabie. Ils avaient leurs églises bien avant que nous ne construisions nos cathédrales.

On peut d'ailleurs dire exactement la même chose de tous les chrétiens d'Orient qu'ils soient catholiques (de rite d'Antioche, de rite syriaque comme les maronites libanais, de rite byzantin, de rite arménien, de rite d'Alexandrie) ou «non chalcédoniens » comme les coptes, ou orthodoxes (ayant leur patriarcat soit à Istanbul, soit à  Alexandrie, soit à Jérusalem, soit à Damas). Tous sont « chez eux » dans ces pays-là depuis des millénaires, certains parlant encore l'araméen, la langue du Christ. En faire des ambassadeurs de l'Occident, des représentants du capitalisme colonial est évidemment une absurdité. Même si, en effet, ils sont « de culture chrétienne ». Mais  ils l'étaient avant nous.

Nous ne pouvons rien faire pour les protéger, mais au moins ne les trahissons pas en reprenant à notre compte les accusations odieuses de leurs assassins. Nous pouvons les accueillir, comme nous nous devons d'accueillir tous ceux qui sont persécutés. Beaucoup ont déjà fui leur pays. Mais, en tous les cas, ne continuons pas à  nous boucher les yeux, à parler de «l'amitié islamo-chrétienne », d'un « Islam à l'occidentale», de « la cohabitation harmonieuse des trois monothéismes ».
Soyons intransigeants avec les règles de notre laïcité, mais ne nous laissons entraîner ni vers la stigmatisation ni vers la discrimination (surtout si elle devait être « positive », comme le souhaite certains), car ce serait, évidemment, faire le jeu des fanatiques.
Aujourd'hui, la grande mode est d'évoquer, d'invoquer à tout bout de champ "les années les plus sombres de notre histoire". C'est souvent absurde et parfois odieux.
Mais s'il y a une leçon qu'il ne faut jamais oublier c'est bien celle de Munich . Churchill avait dit : « Ils ont préféré le déshonneur à la guerre et ils auront les deux ». Il ne faut jamais tenter de pactiser avec ceux
qui vous ont déclaré la guerre.

Thierry Desjardins Journaliste et Reporter, né en 1941,
Directeur Général adjoint du Figaro.
Auteur de nombreux ouvrages politiques. Lauréat de l'Académie française.
Prix Albert Londres 1975.
Prix Louis Pauwels , 2000.

21.4.12

3.3.12

Lettre ouverte à ma conseillère bancaire de l'ex Crédit Communal

Chère Madame T




Quand je pense à ce que va coûter le changement de nom de DEXIA en Bifidus (où quoi encore ?) je me dis que je ne devrais plus faire confiance à un organisme financier qui prétend se différentier de ce qu'il était avant .... en se contentant de changer de nom, et de logo, mais en gardant à sa tête [à part le gogo du haut] le (ou les deux) échelons hiérarchiques qui ont activement participé au désastre qu'ils utilisent aujourd'hui comme prétexte pour changer de nom !





Virer tout ce beau monde eût coûté bien moins cher qu'un changement de logo .. et c'eût déjà été une substantielle économie.





L'opération changement de logo va manquer son but puisqu'elle ne fera pas oublier aux clients et clients potentiels que c'est le contribuable qui a renfloué DEXIA, alors qu'ils auraient été bien plus prêt à croire que DEXIA a changé si les têtes pensantes (ou se disant telles) étaient passées aux oubliettes.


D'ailleurs on l'aurait vite vu aux décisions commerciales et bancaires parce que tout remplaçant même peu compétent, tient à se démarquer un maximum de son prédécesseur.




Comme gage de changement, j'aurais aussi apprécié,une retentissante annonce de ce que tous les administrateurs nommés par les anciens actionnaires sont remerciés selon leurs mérites, et remplacés par des représentants du nouveau (l'état) lequel prend l'habitude du privé : quand une société nomme un de ses membres pour le représenter au CA d'une société fille le dit membre n'est pas rémunéré.


Envoyer au CA de Belfius de hauts fonctionnaires déjà rémunérés par ailleurs (par leurs appointements mensuels) apporterait du liquide au moulin de l'austérité; surtout cela substituerait une efficace surveillance par des professionnels des finances, des affaires économiques ... à la pontifiante figuration exercée jusqu'ici par les politiciens que vous savez.





En conclusion tenez moi au courant quand vous changerez d'employeur, je vous suivrai dans cette banque là.





PS je vous autorise évidemment à faire remonter à ce message la colonne vertébrale du dinosaure qu'est votre hiérarchie - et aux politiciens qui touchaient des jetons de présence en (se) faisant croire qu'ils surveillaient DEXIA en mon nom.