19.9.13
4.9.13
Les tchaets eyet les soris ....
Allez voir ici
Et rappellez vous cette phrase d'un visionnaire nommé Charles de Gaule :
"Le problème de la Wallonie c'est qu'elle est gouvernée et le sera encore longtemps par des gens qui ne l'aiment pas"
Et rappellez vous cette phrase d'un visionnaire nommé Charles de Gaule :
"Le problème de la Wallonie c'est qu'elle est gouvernée et le sera encore longtemps par des gens qui ne l'aiment pas"
LA CRISE POUR LES NULS
Comment en est on arrivé là? (tout le monde va enfin pouvoir piger)
Jef est propriétaire d'un bistrot.
Il réalise soudain que tous ses clients sont des alcolos qui n'ont pas
le temps de bosser et ne peuvent donc plus fréquenter son bistrot.
Il imagine alors un plan marketing génial: "picole aujourd'hui,
paie demain".
Il tient rigoureusement à jour son carnet de "poufs", ce qui équivaut
donc à consentir un prêt à ses clients.
Chiffre d'affaires et bénéfices explosent et son bistrot devient vite,
sur papier, le plus rentable de la capitale.
Ses clients s'endettant chaque jour davantage acceptent sans rechigner
des augmentations régulières du prix du godet gonflant ainsi (toujours
sur papier) les marges du bistrot.
Le jeune et dynamique représentant de la banque de Jef, se rendant
compte que ce tas de poufs sont en fait des contrats à terme (Futures)
et donc un actif, propose des crédits à Jef avec les poufs en
garantie.
Sa trouvaille géniale vaut au banquier visionnaire un plantureux bonus.
Au siège de la banque, un trader imagine alors un moyen pour se faire
de belles commissions: ils convertit les poufs en PICOLOBLIGATIONS.
Les Picolobligations sont alors "titrisées" (converties en paquets de
titres négociables) afin d'être vendues sur le marché à terme.
Confiants à l'égard de leur banquier et avides de hauts rendements,
les clients ne captent pas que ces titres qui leur sont fourgués comme
"obligations AA", ne sont en fait que les poufs d'alcolos feignasses.
Les Picolobligations deviennent la star des marchés, on se les arrache
et leur valeur crève tous les plafonds.
Un beau matin, un "risk manager" oublié dans les caves de la banque se
réveille et signale qu'il est temps de demander à Jef que ses clients
règlent leur pouf.
Jef essaie, mais ses clients ne bossant pas, ... broquette.
La banque exige alors le remboursement du crédit et le bistrot fait
logiquement faillite, vire ses employés entrainant la faillite de ses
fournisseurs en bibine qui, à leur tour, virent également leurs
employés.
Le cours des « Picolobligations » chute brutalement de 90%.
La dépréciation de cet actif vaporise les actifs et donc les
liquidités de la banque.
Problemos: sa banqueroute ruinerait trop d'électeurs ("too big to
fail" qu'on dit)
La banque est donc renflouée par l'Etat.
Ce renflouement est financé par de nouvelles taxes prélevées chez des
employés, les classes moyennes et un tas de gens qui bossent, ne
picolent pas, qui n'ont jamais mis les pieds dans le bistrot du Jef...
Était ce bien clair ???
Cruauté en Iran !!!
Choquant...Certaines avaient 15 ans, d'autres 12 ans, d'autres encore moins. Horrible !
J'hésite à retransmettre ce type de messages, mais là il faut réagir.
Regardez ici, jusqu'au bout, ces images insoutenables !Quelle tristesse ! ! ! ! !
J'envoie ce message car je sais que vous ne pouvez supporter des scènes comme celles-là. C'est de la cruauté pure,
Statistiques à la con
30% des accidents graves sont causés par des ivrognes
Donc 70% des accidents graves sont causés par des gens sobres.
Moralité : l'ivresse donne de meilleurs réflexes, avant de conduire enivrez vous
Il y a 35% de wallons, 10% de Bruxellois 55% de flamands.
Tout le monde devant être traité de la même manière, 35% de l'argent fédéral ira aux wallons.
En particulier pour les chemins de fer.. Même si la Wallonie est bien plus grande que la Flandre.
Donc 70% des accidents graves sont causés par des gens sobres.
Moralité : l'ivresse donne de meilleurs réflexes, avant de conduire enivrez vous
Il y a 35% de wallons, 10% de Bruxellois 55% de flamands.
Tout le monde devant être traité de la même manière, 35% de l'argent fédéral ira aux wallons.
En particulier pour les chemins de fer.. Même si la Wallonie est bien plus grande que la Flandre.
3.9.13
2.9.13
Ce que Charles Rogier déclarait en 1848
Charles Rogier est un monstre sacré de la politique belge, un des pères fondateurs de la nation, un homme d’Etat comme il n’en existe pratiquement plus. Le libéral fut systématiquement élu député de 1831
à 1885, occupa à deux reprises le poste de Premier ministre et détint plusieurs maroquins ministériels, dont ceux de l’Intérieur, des Affaires étrangères et des Travaux publics. Alors que la Belgique devait subir l’agitation qui toucha l’ensemble du continent en février 1848, le Premier ministre décida d’expulser du pays tous ceux qui, à l’image de Karl Marx, tentaient d’y instaurer le désordre et d’y installer une République. Il se justifia ainsi devant la Chambre : “Messieurs, la légalité continuera à être respectée tout autant que l’hospitalité belge. Je répète ce que j’ai dit dans une autre séance ; tout étranger qui mène en Belgique une vie paisible, une vie tranquille, qui rend hommage à nos institutions libérales et les respecte, ceux qui ne cherchent pas par leur conduite à semer le trouble et l’émeute dans le pays, ceux-là continueront à vivre libres et tranquilles comme les Belges eux-mêmes. Mais je le répète aussi, les étrangers qui viendraient susciter des désordres, des émeutes, qui voudraient entraîner le pays au-delà des limites que le pays s’est lui-même tracées, quant à ces étrangers, nous continuerons à agir à leur égard avec sévérité. S’il y a des étrangers qui désirent d’autres institutions que les institutions belges, la porte leur est ouverte ; qu’ils aillent dans leur pays chercher le triomphe de leurs théories.
Leopold premier le savait déjà ...
Sur le site du sénat dans une page web qui fait l'apologie du combat flamand ([1])
- En 1859, il écrivait encore à son chef de cabinet Jules Van Praet: « La Belgique n'a pas de nationalité et, vu le caractère de ses habitants, ne pourra non plus jamais en avoir. En fait, la Belgique n'a aucune raison politique d'exister. » À son plus jeune fils, Philippe, comte de Flandre, il disait que rien ne soudait le pays et que cela ne pouvait pas durer. La seule chose qui intéressait Léopold Ier était de tirer le plus grand profit possible de la Belgique, « cette affreuse boutique »: « Ma première priorité, à laquelle je consacre beaucoup d'énergie, est de constituer une fortune pour mes enfants, afin de les protéger autant que possible des revers dont tant de familles sont devenues les victimes. »
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